Élus pour agir

La récente diffusion sur les réseaux sociaux du dernier conseil municipal a fait réapparaître miraculeusement la tête de liste de l’opposition qui n’avait jusqu’alors daigné se montrer qu’une seule fois pour la passation de pouvoir en juillet dernier. Une occasion supplémentaire pour le grand perdant du dernier scrutin de se donner en spectacle.

Du côté de la majorité, pas de spectacle mais du réel et du concret. Nous avons réussi en six mois là où la précédente mandature avait échoué durant des mois voire des années.

Quelques exemples simples : la rue du Cordon attendait de bénéficier de nouveau de l’éclairage public depuis trois longues années. Nous avons rétabli la lumière en trois mois. Nous avons agi dans la rue du Puisatier afin de permettre aux riverains de circuler sur la chaussée sans danger.

Nous avons également illuminé, pour les fêtes de fin d’année, les quartiers des Merisiers et de la Côte-des-Carrières, laissés à l’abandon par l’ancienne mandature.

Coté administration, nous faisons tout notre possible pour redonner confiance à nos agents. Nous héritons d’une administration en souffrance. De nombreux agents ont été sous-valorisés, traités comme des pions que l’on a déplacés, au gré des envies, d’un service à l’autre. Les multiples refontes de l’organigramme ont également déstructuré et dévitalisé cette administration.

Aussi, nous héritons de situations professionnelles inquiétantes. Certains agents cumulent ainsi des CDD depuis plusieurs années. Est-ce normal ? Qu’a-t-il été fait pour résorber la précarité ? 

Cerise sur le gâteau, dès notre arrivée, nous avons pris connaissance d’un permis de construire pour 13 lotissements en plein coeur du village ! Une aberration passée inaperçue…

La majorité en a averti immédiatement l’association locale, stupéfaite d’apprendre que leur cadre de vie va s’en trouver défiguré comme jamais.

Un autre exemple édifiant qui en dit long sur la manière dont a été gérée notre ville. Nous avons deux chantiers concomitants au village : la restauration de l’église et la réfection de la Grande Rue. Et bien, figurezvous que la maîtrise d’oeuvre de chaque chantier ignorait l’existence de l’autre ! Vous avez dit amateurisme et négligence dans le suivi des dossiers ? Exactement. Mais comme le dit si bien la réclame, « ça, c’était avant »…

Groupe de la majorité